Vueltón 2008

Tout a commencé quand 7 cyclistes aguerris et moi commençons à rouler en sortant du Tec … c'était 30 premiers kilomètres par la route jusqu'à soit arrivé au Port Genovevo le lieu où nous nous sommes arrêtés une paire de minutes pour consommer quelques choses nutritifs continuer la montée vers le pommier, encouragés par vítores subits de voyageurs exaltés par quelque chose plus que l'oxygène de montagne. Allez que cette montée a été provocatrice mais je me suis souvenu de tout mon entraînement de vélo de la route et la montagne que j'ai eu pendant l'année auxquels il était là et ne pouvait pas renoncer.

L'effort qui a valu la peine bien quand t'arrive cette sensation d'avoir terminé la montée sans avoir renoncé dans la tentative, en plus d'être encouragée par des paysages incroyables montagneux autour de moi.

En descendant le pommier nous déjeunons de quelques toasts délicieux un style du Nord dans Ciénega de González pour après continuer avec notre parcours. Nous nous aventurons vers le canon du Saint Cristobal, en arrivant vers la cascade du Saut sans de plus grandes surprises qu'une baisse plus propre de pierres et c'est pourquoi plus sûre pour le voyageur que d'une coutume. Nous nous sommes rendus compte avec soulagement de ce qu'il n'était pas nécessaire de se mouiller pour continuer, à la différence de ce que nous avions été pronostiqués.

Nous commençons un parcours avec une pierre ivre, et le souci est arrivé un peu après, quand a commencé à se terminer la lumière du jour. Le chemin de pierre ivre n'avait pas de fin (au moins ainsi je l'ai perçu) et bon si je peux dire que c'était un terrain agreste auquel elle n'était pas préparée puisque c'était la première fois qui l'expérimentait.

Mes collègues ont commencé à remarquer un laisser-aller dans le lieu puisqu'il faisait un an il était distinct et il ne fallait pas charger dans l'épaule tant de temps la bicyclette, dans cette occasion il nous a touché porter le vélo sur le dos une grande partie de chemin. Mes collègues se sont convaincus qu'il serait impossible d'arriver à la prisonnière Il casse des becs avant qu'obscureciera, en fait n'existât la certitude de ce que nous serions à une distance considérable encore de celle-ci quand le soleil se sera caché.

Après avoir hésiter un moment, décider de poursuivre, de même que la pleine lune ce jour-là, des lampes de poche et nous avons eu à peu près tout le monde. Au moins deux tronçons de routes de gravier que mes collègues étaient au courant de la nourriture par l'eau et la pierre a été bénie au lieu de balle et de le rendre plus intéressant pour arriver à la pointe du fusil dernière section où l'eau n'avait pas plus de terres pour être mangé, et sans lumière jour, nous sommes au niveau du site d'énormes pierres ont été retirés de l'enceinte et il était impossible d'aller rouler. Même juste pour ne pas rater même possible d'y aller avec la moto sur sa ... À ce point que nous avons vu se produire sporadiquement des lampes de poche avec nous pour de nombreux voyageurs qui étaient à pied mener un raid marathon de Villa de Santiago à l'entrée de la Huasteca.

Je dois avouer que, même si elles n'ont pas besoin de leur aide, il a été un soulagement de savoir que si quelque chose peut avoir plusieurs messagers estafeta.Continuamos jusqu'à ce que sur le détournement de Pajonal, où nous avons attendu Marco, David et sa jeep, qui représente comme quelque chose de semblable au salut et un relief que l'on peut se sentir impuissant dans un canyon sombre et commence à sentir un froid d'hiver à venir. Ci-après quelques tours ont été pour aller à l'intérieur de la jeep, mais je pense que ce soit en vélo ou l'équitation dans les automobiles se sentent tous la même émotion de voir la lune, la recherche, pour la première fois dans les montagnes après seulement deviner quand on a eu le canyon captives de sa pénombre.

L'expérience vaut la peine parce que je vous a permis de choquant et féroces guerriers qui reflète l'esprit aventurier et explorateur unmarriageable toujours étonné par les surprises qui garde notre monde naturel.

Castillejos Liliana Morales

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Todo comenzó cuando 7 aguerridos ciclistas y yo comenzamos a rodar saliendo del Tec… fueron 30 primeros kilómetros por la carretera hasta llegar al Puerto Genovevo lugar donde nos detuvimos un par de minutos para consumir algunos nutritivos refrigerios continuar la subida hacia el manzano, alentados por repentinos vítores de viajeros exaltados por algo más que el oxígeno de montaña. Vaya que esa subida fue retadora pero me acordé de todos mis entrenamientos de bici de ruta y montaña que tuve durante el año por los cuales estaba ahí y no podía desistir.

Esfuerzo que bien valió la pena cuando te llega esa sensación de haber terminado la subida sin haber desistido en el intento, además de estar alentada por increíbles paisajes montañosos a mi alrededor.


Bajando el manzano almorzamos unas sabrosas tostadas estilo norteño en Ciénega de González para después continuar con nuestro recorrido. Nos aventuramos hacia el cañón de San Cristóbal, llegando hacia la cascada del Salto sin mayores sorpresas que una bajada más limpia de piedras y por tanto más segura para el viajero que de costumbre. Nos dimos cuenta con alivio de que no era necesario mojarse para continuar, al contrario de lo que se nos había pronosticado.

Comenzamos un recorrido con piedra bola, y la preocupación llegó un poco después, cuando comenzó a terminarse la luz del día. El camino de piedra bola no tenía fin (al menos así lo percibí) y bueno si puedo decir que fue un terreno agreste para el que no estaba preparada pues era la primera vez que lo experimentaba.

Mis compañeros comenzaron a notar una descompostura en el lugar ya que hacía un año era distinto y no había que cargar en el hombro tanto tiempo la bicicleta, en esta ocasión nos tocó llevar la bici a cuestas una gran parte del camino. Mis compañeros se convencieron que sería imposible llegar a la presa Rompe picos antes de que obscureciera, de hecho se tenía la certeza de que estaríamos a una distancia considerable aún de ésta cuando el sol se hubiera ocultado.

Tras vacilar un instante, decicimos continuar, dado que ese día habría luna llena y contábamos con linternas para casi todos. Al menos dos secciones de camino de terracería que mis compañeros conocían fueron comidas por las aguas y en su lugar había bendita piedra bola y para hacerlo más interesante llegamos a la última sección encañonada donde el agua no había tenido más tierra qué comerse y ya sin luz de día nos encontramos en el lugar donde más piedras enormes fueron desprendidas de las paredes y era imposible pasar rodando. Incluso poco faltó para que ni siquiera fuera posible pasar con la bici al hombro... Para este punto ya veíamos esporádicamente pasar linternas a nuestro lado de innumerables viajeros a pie que se encontraban realizando una especie de maratón de trekking desde Villa de Santiago hasta la entrada de la Huasteca.

Admito que si bien no requerimos de su ayuda, era un alivio saber que en caso de cualquier eventualidad se podía contar con múltiples mensajeros de estafeta.Continuamos hasta cerca de la desviación al Pajonal, donde ya nos esperaban Marco, su jeep y David, representando como siempre algo parecido a salvación y un alivio al desamparo que se pueda sentir dentro de un cañón obscuro y empezando a sentir el frío de un invierno próximo. De aquí en adelante se fueron turnando algunos para viajar dentro del jeep, pero creo que ya fuera rodando en bici o en automotor todos sentimos la misma emoción al ver la luna asomarse por primera vez entre las montañas después de sólo adivinarla cuando el cañón nos mantenía cautivos dentro de su penumbra.

Experiencia que bien valió la pena pues me permitió conocer lugares impactantes y guerreros aguerridos cuyo espíritu refleja al aventurero explorador incasable y siempre maravillado de las sorpresas naturales que guarda nuestro mundo.

Liliana Castillejos Morales